Le virage a été extrêmement mal exécuté pour des raisons inconnues. Peut-être que le timonier indonésien n'a pas compris les ordres donnés ou que le gouvernail ne fonctionnait pas. Plus de trois ans plus tard, personne ne connaît les détails exacts de ce premier de trois accidents.
Le navire a commencé à couler et les générateurs se sont arrêtés, lorsque certains compartiments de la coque ont été inondés. Il y a eu un black-out , c'est à dire que la lumière normale s'est éteinte. Le navire, stable et flottant, a réussi à s'ancrer près de Porto Giglio et équipage a commencé un abandon de navire et donc une évacuation après l'impact. L'éclairage d'urgence fonctionnait. Personne n'était mort.
Le Costa Concordia, enregistré sous pavillon italien, était un navire de facture médiocre, dangereux et n'était pas en état de naviguer le 13 janvier 2012 et l'armateur le savait. Les assurances n'étaient pas valides. L'équipage à bord était incapable de rassembler les passagers et de les accompagner jusqu'aux canots de sauvetage et d'utiliser tous les moyens de secours disponibles pour assurer en toute sécurité l'évacuation complète du navire en cas d'urgence. Les média n'ont jamais fait mention de ce simple fait. Par chance, beaucoup de personnes se sont débrouillées pour quand même quitter le navire.
Le navire a chaviré, et c'est un deuxième accident, à 0h34 le 14 janvier 2012, en raison de l'envahissement progressif des compartiments intacts à travers 25 portes étanches non conformes laissées ouvertes et s'est écrasé côté tribord contre les rochers. Personne n'était mort jusqu'à ce moment-là. Peut-être que c'est le moment où le capitaine a quitté le navire. Le navire, ainsi que ses navires-jumeaux, avait été mal conçu et était exploité avec ces stupides portes depuis 2006.
Le navire, donc, a coulé sur le sommet de ces rochers, juste à l'extérieur de Giglio Porto ce matin du 14 janvier 2012, tuant 32 personnes restées à bord. un troisième accident. Le côté bâbord restait visible au dessus de l'eau. Les dommages structurels visibles sur ce côté bâbord semblaient irréels.
Pour masquer les vrais causes de ces trois accidents et protéger le propriétaire du navire. Ce dernier, le personnel des assurances et les autorités judiciaires et maritimes italiennes, ont immédiatement inventé un scénario, assistés par les média, pour mettre le tout, c'est à dire le contact avec l'écueil, le chavirement, le naufrage et les homicides, sur le malheureux capitaine du navire, Francesco Schettino. Les conspirateurs, dirigés par le propriétaire du navire ont menti et raconté toutes sortes d'histoires sur le capitaine, repris en chœur par les média. Le spectacle pouvait commencer.
Le propriétaire du navire a annoncé plus tard que le navire allait être renfloué et réparé. Ce n'était pas vrai non plus. L'épave a finalement été retirée, après avoir passé trois hivers sur les rochers, pleine d'eau, en juillet 2014 et transportée à Gênes pour une démolition extrêmement coûteuse payée par l'assurance. L'épave est encore pleine d'eau à Gênes et peut couler à tout moment. Les média n'en parleront sans doute pas.
Toute cette affaire ressemble au naufrage du ferry Estonia en 1994. L'Estonia n'était pas non plus en état de naviguer, les média ont toujours rapporté autre chose depuis et maintenant, l'affaire est oubliée.
Les média ne pointeront pas les faits prouvés sur les armateurs criminels des navires qui ne sont pas en état de naviguer que je publie. La sécurité en mer (qui est le but de Heiwa.Co) n'a donc pas été améliorée depuis les accidents du 13 janvier sur l'écueil , ainsi que du chavirement et du naufrage du 14 janvier 2012.
Un armateur honnête aurait témoigné de la solidarité à son capitaine. En ne le faisant pas, il a montré sa vraie nature d'opérateur de navires dangereux. D'autres accidents mortels peuvent donc arriver, les média donneront un coup de main, comme d'habitude.
Et le spectacle continue !
Le 11 février 2015, le capitaine a été condamné à 16 ans et 1 mois de prison. C'est une partie du spectacle. Le capitaine ne fait que jouer son rôle. Le jugement complet écrit, avec les arguments détaillés et les preuves contre Francesco Schettino ne sera pas disponible avant le 11 mai 2015. En attendant, Schettino est libre de se déplacer. Seuls les criminels dangereux, les mafiosi et les terroristes sont enfermés en Italie en attente de justifications écrites et il semble que Schettino n'est ni dangereux, ni mafioso, ni terroriste.
Le Costa Concordia, enregistré sous pavillon italien, était un navire de facture médiocre, dangereux et n'était pas en état de naviguer le 13 janvier 2012 et l'armateur le savait. Les assurances n'étaient pas valides. L'équipage à bord était incapable de rassembler les passagers et de les accompagner jusqu'aux canots de sauvetage et d'utiliser tous les moyens de secours disponibles pour assurer en toute sécurité l'évacuation complète du navire en cas d'urgence. Les média n'ont jamais fait mention de ce simple fait. Par chance, beaucoup de personnes se sont débrouillées pour quand même quitter le navire.
Le navire a chaviré, et c'est un deuxième accident, à 0h34 le 14 janvier 2012, en raison de l'envahissement progressif des compartiments intacts à travers 25 portes étanches non conformes laissées ouvertes et s'est écrasé côté tribord contre les rochers. Personne n'était mort jusqu'à ce moment-là. Peut-être que c'est le moment où le capitaine a quitté le navire. Le navire, ainsi que ses navires-jumeaux, avait été mal conçu et était exploité avec ces stupides portes depuis 2006.
Le navire, donc, a coulé sur le sommet de ces rochers, juste à l'extérieur de Giglio Porto ce matin du 14 janvier 2012, tuant 32 personnes restées à bord. un troisième accident. Le côté bâbord restait visible au dessus de l'eau. Les dommages structurels visibles sur ce côté bâbord semblaient irréels.
Pour masquer les vrais causes de ces trois accidents et protéger le propriétaire du navire. Ce dernier, le personnel des assurances et les autorités judiciaires et maritimes italiennes, ont immédiatement inventé un scénario, assistés par les média, pour mettre le tout, c'est à dire le contact avec l'écueil, le chavirement, le naufrage et les homicides, sur le malheureux capitaine du navire, Francesco Schettino. Les conspirateurs, dirigés par le propriétaire du navire ont menti et raconté toutes sortes d'histoires sur le capitaine, repris en chœur par les média. Le spectacle pouvait commencer.
Le propriétaire du navire a annoncé plus tard que le navire allait être renfloué et réparé. Ce n'était pas vrai non plus. L'épave a finalement été retirée, après avoir passé trois hivers sur les rochers, pleine d'eau, en juillet 2014 et transportée à Gênes pour une démolition extrêmement coûteuse payée par l'assurance. L'épave est encore pleine d'eau à Gênes et peut couler à tout moment. Les média n'en parleront sans doute pas.
Toute cette affaire ressemble au naufrage du ferry Estonia en 1994. L'Estonia n'était pas non plus en état de naviguer, les média ont toujours rapporté autre chose depuis et maintenant, l'affaire est oubliée.
Les média ne pointeront pas les faits prouvés sur les armateurs criminels des navires qui ne sont pas en état de naviguer que je publie. La sécurité en mer (qui est le but de Heiwa.Co) n'a donc pas été améliorée depuis les accidents du 13 janvier sur l'écueil , ainsi que du chavirement et du naufrage du 14 janvier 2012.
Un armateur honnête aurait témoigné de la solidarité à son capitaine. En ne le faisant pas, il a montré sa vraie nature d'opérateur de navires dangereux. D'autres accidents mortels peuvent donc arriver, les média donneront un coup de main, comme d'habitude.
Et le spectacle continue !
Le 11 février 2015, le capitaine a été condamné à 16 ans et 1 mois de prison. C'est une partie du spectacle. Le capitaine ne fait que jouer son rôle. Le jugement complet écrit, avec les arguments détaillés et les preuves contre Francesco Schettino ne sera pas disponible avant le 11 mai 2015. En attendant, Schettino est libre de se déplacer. Seuls les criminels dangereux, les mafiosi et les terroristes sont enfermés en Italie en attente de justifications écrites et il semble que Schettino n'est ni dangereux, ni mafioso, ni terroriste.
Le Costa Concordia juste avant le chavirement à 0h34 le 14 janvier 2014. Tous les canots de sauvetage ont quitté le navire sauf deux à la poupe et celui du capitaine, à la proue.
Source :
Anders Björkman (Heiwa Co) architecte naval et ingénieur naval, avec plus de 40 ans d'expérience de conception, de construction et d'exploitation de navires-citernes et de ferries. Anders Björkman a également été délégué à l'OMI pour diverses administrations nationales et une ONG et conférencier lors de rencontres sur la sécurité en mer. Il détient plusieurs brevets en rapport avec la sécurité des navires.
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